How Women Rise chez Schneider Electric : Rencontre avec Rebecca Parvin

L’initiative How Women Rise continue en 2021. Schneider Electric met en lumière le regard des femmes qui ont participé aux éditions précédentes à travers une série d’articles. Chaque semaine, découvrez un nouveau portrait de femme inspirante et engagée. Aujourd’hui on échange avec Rebecca Parvin, contrôleur de gestion au département finance de Schneider Electric.

Photo off Rebecca Parvin

Pourriez-vous vous présenter :

Parvin Rebecca, 34 ans, je travaille chez Schneider Electric depuis 10 ans. Je suis contrôleuse de gestion au sein du département finance.

Qu’avez-vous pensé lorsque vous avez entendu parler pour la première fois de l’évènement « How Women Rise » chez Schneider Electric ?

Je venais de lire un livre sur « Comment briser le plafond de verre », le training HWR était une continuité parfaite pour convertir en action mon envie de me développer dans l’entreprise.

Quelles attentes aviez-vous de cet évènement ?

Apprendre et identifier des actions concrètes adaptées à mon profil pour évoluer sans barrière interne sur mon chemin.

Aviez-vous conscience de certains biais qui sont susceptibles de freiner l’évolution de votre carrière professionnelle, avant les sessions d’HWR ?

Oui, et je croyais même être très bien informée sur le sujet : et pourtant pendant la formation j’ai appris tellement de choses que j’ignorais jusque là ! Par exemple habit #6 Putting your job before your career* était une vraie découverte pour moi.

*Faire passer votre travail avant votre carrière

Comment s’est déroulée la session ?

HWR travaille sur nos freins interne : changer la société est une autre sujet.

Avant la formation, nous sommes encouragés à lire le livre HWR. La formation commence par revoir les 12 principes, avec des courtes vidéos explicatives, et des discussions de groupe. Également nous faisons avant la session, le test des 16 personnalités, qui classe les personnalités suivant 5 axes. J’ai trouvé très percutants les jeux mis en place autour de ces 5 axes pour prendre conscience de comment sont les autres, bien intégrer que notre fonctionnement n’est pas le fonctionnement des autres femmes, ni des autres hommes. Cela m’a permis de mieux comprendre mon propre mode de fonctionnement. Je me rappelle sur l’axe « Judgment/prospection », sur le groupe d’environ 30 nous étions seulement 3 à être « prospection » (alors que sur tous les autres axes les groupes étaient relativement équilibres) : ce fut une vraie surprise pour toutes, cela nous a vraiment questionné sur nos différences.

Nous avons aussi eu des temps de réflexion individuels pour construire notre plan de développement et des sessions d’échanges avec des femmes leaders, pour pouvoir poser de façon totalement informelle toutes nos questions, même les plus banales, qui sont souvent les plus importantes.

Comment avez-vous vécu cette expérience ?

Déjà ma première impression en arrivant dans la salle en regardant autour de moi fut très bonne : beaucoup d’énergie, de dynamisme. Être entourée d’autant de femmes talentueuses pendant 2 jours fait vraiment du bien.

Qu’avez-vous appris concrètement de cette session de développement personnel ?

J’ai appris à comprendre mieux les traits de ma personnalité, j’ai identifié parmi les 12 (mauvaises) habitudes lesquels sont à travailler pour moi. Ce point est important : « pour moi ». Nous avons chacune nos aspirations, personnelles et professionnelles, qui peuvent évoluer au cours de la vie, et c’est ok : c’est bien le point du développement personnel, être personnalisé pour chacune, et aller là où nous le souhaitons.

Avez-vous pu mettre en application ensuite dans votre quotidien ce que vous avez appris lors des sessions HWR ?Si oui, pourriez-vous nous donner un exemple ?

Oui, par exemple la rumination (Habits 11. Ruminating), c’est-à-dire le fait de faire tourner encore et encore une idée (souvent négative) dans sa tête, d’y revenir sans arriver à passer à autre chose. Durant la session la photo d’illustration montrait une vache (c’est l’origine du mot rumination, la digestion de la vache) : j’ai utilisé cette image de vache (que je n’ai pas du tout aimé) pour changer mon comportement.

Etes-vous restée en contact avec d’autres participantes après les sessions HWR ?

Totalement, nous avons beaucoup échangé pendant le training et crée des liens forts, je sais que je peux recontacter facilement chacune des participantes. Sur le réseau local Grenoblois, des participantes organisent un apéro et un lunch mensuel, pour continuer l’échange en groupe, en plus des affinités individuelles se sont créées.

Pensez-vous que l’existence d’un réseau des femmes en entreprise pourrait vous aider ? Participeriez-vous à des événements organisés en local par le réseau des femmes ?

Oui, comme tous les réseaux. Surtout utiliser un réseau de femmes est un moyen d’accéder à un réseau, et l’utiliser est clef ! (habit #4 Just building rather than building and leveraging relationships*)

*Juste construire plutôt que construire et exploiter son réseau

Découvrez toutes les actions Schneider Electric pour la diversité et l’inclusion

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